"Il est urgent de redonner la place aux réfugiés palestiniens“
L’historienne Sandrine Mansour dans « La Vie continue »
Face aux silences médiatiques et politiques concernant les Réfugiés palestiniens, l’historienne Sandrine Mansour (1), l’AJPF, le collectif La Forge et la Plateforme Palestine créent des productions pour faire valoir leur cause, leur vie, leurs aspirations.
Le contenu
Elle consiste en une suite d’images et d’écrits sur le droit international et la réalité, réalisée par Sandrine Mansour, les graphistes de l’atelier « Nous Travaillons Ensemble », et de la Forge.
La forme
L’exposition est disponible sous deux formes :
– en version imprimée sur papier.
16 posters imprimés en noir et blanc, dont 10 posters au format 60 x 90 cm, 5 posters au format 45x45cm et 1 poster au format 90 x 135 cm. La longueur linéaire de l’exposition est ajustable, de 8 à 10 m, fournie avec plan d’accrochage.
– en projection. Déclinée en fichier Power Point pour des projections, plénières, débats en salle, comme outil d’animation.
Au prix de soutien : 400 €
Le coût des tirages, s’ils sont effectués par nous, est de 265 €
Pour vous procurer l’exposition, imprimée ou animée :
Contacter François Mairey <francois.mairey@laforge.org>
La Forge / 06 74 34 28 17 / www.laforge.org
Cette exposition peut être complétée par l’installation “Les Palestines", des cartes textiles, crées par la plasticienne Marie-Claude Quignon, de La Forge, co-produites avec Jehan Badwi du camp d’Al Aroub et Lulwa Al Sarraj, une gazaouie, exilée en France.
À installer selon le plan fourni par l’artiste en fonction du lieu.
Nous pouvons, éventuellement, participer à l’installation de ces expositions.
En 2016, « La vie continue“ et »Les Palestines« ont été déjà exposées dans le Forum Social Mondial de Montréal au Canada ; à la Fête de l’Humanité ; au Centre social Georges Brassens de Creil avec »Creil-Palestine-Solidarité" ; au Centre culturel Aragon-Triolet d’Orly avec le Comité Orlysien Palestine...
En avril 2017, elle sera montrée dans le 2e Festival de Naplouse, en version arabe…
Cette action associera des villes jumelées avec un camp de réfugiés palestiniens dans le but de :
– mettre en regard le passé avant l’exil et le présent, la vie actuelle dans le camp, avec des photos, des témoignages intimes de ces deux temps historiques.
– montrer la place centrale des femmes réfugiées qui luttent pour leurs libertés politiques, collectives, individuelles, pour développer leur autonomie, leur accès au travail, et pour aider, soutenir, secourir les enfants qui grandissent au milieu d’oppressions quotidiennes.
Le projet est déjà engagé par le travail photographique d’Olivia Gay, lors de sa résidence, avec des femmes palestiniennes du camp de Qadoura. S’y rajoutera une collecte de photographies de cet avant. Sa forme adviendra après avoir rassemblé le contenu.
Lire notre dossier thématique sur les réfugiés palestiniens.
(1) Sandrine Mansour est Docteur en histoire (thèse auprès de Henri Laurens) et chercheuse au CRHIA (centre de recherches en histoire internationale et atlantique) à l’université de Nantes. Elle a publié « L’histoire occultée des Palestiniens (1947-1953) » aux Éditions Privat en 2013.
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